mercredi, novembre 28, 2007

même coincé dans un grain de sable...








Photos d.m.
Au fond de son trou de souris piégée, dans les méandres inextricables du fleuve boueux de ses solitudes, dans les copeaux irrematérialisables de la chair de son destin de silence contraint, le petit homme vivra jusqu'au bout et de tous ses phanères le besoin d'érailler et d'exploser l'intérieur de la coquille.
Qu'on se le dise.
Puisqu'il faut bien mourir, que ce soit debout. Et la gueule ouverte.



9 commentaires:

Anonyme a dit…

Phanères, phanères, c'est vite dit...

Anonyme a dit…

ah ah ah!

Anonyme a dit…

hi hi hi !!!

Anonyme a dit…

"Eh, Hombre, je ramène mes pinceaux et on se fait un livre "grain de sable" sur les confettis de la lettre aux archozoïstes ;-)"


Je t' embrasse avec douceur, Hombre

Anonyme a dit…

En anonyme, ça passe ( même pas en pseudo) sauf que je revendique mon identité ...
Bisous du plat pays à toi, Hombre !
Mich

Anonyme a dit…

Ca marche!
Bises dents saignantes!
Karine

Anonyme a dit…

Ca marche aussi quand on donne son nom!

Anonyme a dit…

tu as deux yeux on dirait et une bouche, pas une gueule, même si tu gueules des fois, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, mais pas du tout sera à jamais imposssssssible ;))
mille bisous
Lagunedune

Anonyme a dit…

Ah, chère chère Lagunedune, comme j'apprécie tes mille bisous et que tu n'aies pas fui, comme tant d'autres, ces pages où un vieux fou regarde de tous ses yeux à lunettes et gueule avec sa simple bouche d'homme.
Quoique, ces temps-ci, mon renfermement moral me paralyse au niveau de la communication et de l'écriture de ces pages.
J'espère que ça va revenir plus dense, plus dru, quand il me semblera apercevoir une lueur de vie dans mes alentours.
Heureusement que tu es là, tu es des rares personnes avec qui j'ai des liens. Des vrais.
Et je t'en remercie de tout mon coeur.
Denis