samedi, octobre 06, 2007

chute libre











photos d.m.
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Je sens
dans mes
moindres
grains
de chair
les dénouements
d'abandon
des ressorts
brisés.
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d.m.





6 commentaires:

Anonyme a dit…

Combien résonnent en mes chairs ces mots, Hombre ...

Anonyme a dit…

Pardonne-moi, Kaïkan. Je navigue à vue dans un brouillard d'égorgeurs. Les combats sont trainés dans le boue. Il ne sera de monde que de boue.
Les mots s'y enlisent dans des silences glauques.
Je ne sais plus que faire.
Et pourtant, comment se taire?
Pardonne-moi, Kaïkan, pour ces moments où les genoux ploient sous la peine.
Je vais me relever.
Promis.

Anonyme a dit…

Tu sais, Hombre, de l' homme de boue à l' homme debout , juste change le T, comme une béquille d' amitié sur laquelle s' appuyer pour se relever ... Je t' offre mon épaule, Hombre et ... guette bien le facteur, il te dira toute ma présence à tes côtés ;-)

Anonyme a dit…

ce qui compte c'est de n'être pas feuille, mais d'être l'arbre... il se déplume, il se les gêle, mais il se rhabille toujours...
je comprends... envie moi-même de jeter mes feuilles au ruisseau et de disparaître à l'égout
bisouS avec un S comme ;)

Anonyme a dit…

Merci, Kaïkan, pour le T de ton épaule, en attendant le T. de ton livre. Merci ma Lagune pour tes mille S. comme Solidarité, Sororité, Sympathie, Sagesse, Savoir-Aimer...

La vie est belle, puisque vous êtes.

Tendrement.
Denis

Anonyme a dit…

t'en reste-t-il quelqueS uneS encore? ou eS-tu déjà tout nu? ;) brrrrr les frimatS arrivent, il va falloir se couvrir! de feuilleS d'écriture.... :)
biSouS de S.