vendredi, septembre 14, 2007

plus qu'un...

Jusqu'à ce matin, il restait dans mon bestiaire perso deux cadors de première bourre, deux esprits de vive intelligence tricotée d'humour libéré: François Cavanna et Jacques Martin (aucun rapport entre les deux?...mais tous deux trop ploucs?...mais tous deux pas assez intellos sérieux?...).
François, me lâche pas tout de suite, j'ai du mal à me blinder au vide qui rôde dans mes intournures ...

Pour les centaines d'heures d'oxygène qui m'ont soutenu dans les jours sombres, Salut et Merci, Jacques Martin.

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