dimanche, février 04, 2007

Merci à mes lectrices

illustration d.m.
Merci, chères lectrices, merci de tout coeur de continuer vos visites sur l' "Hombre..." , et de suivre l'évolution de "Goût de cendre..." . Je lis précieusement les commentaires que vous y déposez. Ils sont forts et je vous demande pardon de vous inviter dans des univers glauques. C'est pas moi qui ai inventé ce monde, même si j'y participe, fatalement.
Une visiteuse de ce blog qui est venue me saluer ce matin au Marché de la Création , à Lyon, m'a reproché gentiment ma noirceur et celle de cet espace.
Je ne suis pas un clown de fête votive. Je ne sais pas faire semblant d'être heureux et encore moins me mentir.
J'assiste à "ça" et je raconte "ça" .
Faire comme si de rien n'était serait une faute. Un crime.
Dans le 6 ème épisode de "Comme un goût de cendre au réveil" juste là à droite dans les "tiroirs" , je vous invite aujourd'hui à une superbe apparition.
"ELLE" vous ressemble.
Mille bisous.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

oui, c'est bien cela ...
une différence,
une anomalie,
un défaut,
une erreur,
une infirmité pour cet animal un peu rare de la bio-adversité
et dans ce regard chaviré de douceur et de plaisir, ne manque -t-il pas un éclair métallique quasi hypnotique, celui de son propre reflet, son âme et sa conscience..
même si je suis plutôt mi fourmi mi abeille et n'ai rien de la fine mouche ...J'aime ta liBELLElule
Bizz
véronique

Anonyme a dit…

Trés belle ta libellule dans un bocal, nous sommes en partage de chemin. T'embrasse, Hombre, nous avons déjà des numéros...

Anonyme a dit…

mais dois-moi, toi, si tu trouves du plaisir dans nos lectures de toi... c'est que tout n'est pas fini de chez fini... que tout n'est pas éteint de chez éteint... et qu'il y a encore de quoi allumer l'étincelle du bonheur en toi :-)

PS: flatteur va! ;-)

Anonyme a dit…

Véronique, merci d'adopter si gentiment cet Être "merveilleux" et bravo pour le jeu de mot!
Je pense à toi.


Salut, Claude.
Elle est belle, vivante, et c'est bien là sa tare.
Bises à toi.


Ah, ça, Camilla mia, vous faites partie de mes rares bonheurs! Mais c'est la masse du reste qui m'est complètement indigeste. Et quelle masse!
Flatteur, moi? Que nenni! J'apprécie votre chaude présence et votre amitié. Quitte à m'en échapper parfois, de peur de m'y perdre...
Tendresse.