samedi, novembre 11, 2006

quel feu ne meurt...

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bidouillage d.m.
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5 commentaires:

Anonyme a dit…

Si c' est le feu de l' amour, Hombre, n' aie crainte ... Si c' est un feu de maladie, je t' envoie illico une mixture de mon cru ... Si c' est un feu de désespoir, je t' envoie les océans que je traverse ... Dis-moi, Hombre ... Dis moi sans tarder ... On t' aime, Hombre ...;-)

Anonyme a dit…

Merci, Kaïkan, je ne souffre rien de tout cela assez fort pour... Juste le sentiment que le grand Feu du début oublie ses airs de grand brasier pour lentement faire place à un lit de braise déclinante. Que tout cela s'assoupit pour une fin d'éternité glaciale. Que tout va plonger dans ce vide-là... J'avais pas le courage de mettre des mots là-dessus et voilà, Kaïkan est passée par là.
Bises à toi.

Anonyme a dit…

Hola, Hombre ... Phoenix des temps modernes ... Je suis en route vers le pôle ... Tu m' accompagnes dis? ... La mer de glace deviendra volcan de la renaissance à cette humanité debout qui nous est cheval de bataille ...

Anonyme a dit…

tout doit geler, tout doit se perdre et disparaître pour revenir, retrouver et renaître... nous n'échapperons pas au cycle...
nous sommes perpétuellement de celui-là... à l'intérieur de nous, tout se renouvelle... aux grands vertiges succèdent les crêtes, aux obscurs les plus belles clartés, aux doutes les plus grandes certitudes... de celles d'être en vie, de pouvoir s'offrir à d'autres solitudes... pour former un flot ininterrompu... il suffit de quelques gouttes au début, comme ces quelques cellules dont un jour tu es né, et ces quelques cendres un jour éparpillées... entre les deux, à cet instant, il y a toi... et ce n'est ni bois ni cendre, mais un feu vif qui a à vivre l'instant comme une éternité...

Anonyme a dit…

Bien sûr, Camille, bien sûr, mais des fois, les yeux tournés vers le vide infini des espaces, je ressens comme un vertige et un profond sentiment de solitude.
Et toute activité humaine me semble vibrillonnement sans but.
Cela ne m'empêche pas d'avoir envie de vivre et de partager ce petit instant d'éternité qui nous échoit...
bisous à toi.