mardi, août 29, 2006

Et voilà...

dessin d.m.




Dans les remous de courants contraires, des vies se sont croisées, mélangées, déchirées, brisées. Peut-être le promeneur, au bord du fleuve fou, aura t-il déposé dans la mémoire de son coeur quelques poussières évaporées de mots d'amour, de regards tendres, de désirs inassouvis, d' égoïsme assassin, de larmes désespérées. C'est le goût du soleil, c'est le goût du sang, c'est le goût de la vie.

A lire dans le tiroir "Théâtre de l' Hombre" la dernière scène de "Trois P'tits Coquelicots".

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