samedi, juillet 29, 2006

Avis amical aux visiteurs/teuses

crayon d.m.


J'en entends d'ici des qui disent : -Hou! la sale bête! le vilain égoïste, le nombriliste impénitent ! Il a pas mis un lien, pas un encadré qui parle du boulot des copains ! Honte, honte, honte !!!
Y zont raison et y zont tord.
Raison parceque y'a plein de gens qui ont des sites super et qui valent le coup de faire le lien avec et tord parceque tout bêtement, je suis infoutu pour le moment de créer ces liens et ces encadrés: complètement néophyte dans la boite à outils BLOG, j'ai beau lire et relire les "aides" incluses au programme, je comprends rien à leur charabia et voilà, mon site ressemble à la vitrine d'un malpoli. Pardon aux visiteurs/teuses et aux copains poètes et autres artistes dont j'apprécie tellement le travail et l'univers. Je vais faire le maximum pour me mettre au diapason. Et si quelqu'un peut m'initier un peu à cette gymnastique-là, merci d'avance!
Amicalement à tous.
(tiens, pour me faire pardonner, une petite fleur à toutes et tous.)

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Je t' emprunte un pétale que je vais mettre au secret à bord du Kaïkan ;-)

Anonyme a dit…

Chère visiteuse emprunteuse
Dans le silence des tombes, à l'heure desespérante des bombes et des terreurs d'enfants, tout partage est trésor. Il y a quelques années, au temps des fureurs de Sarajevo, j'avais imaginé une scène. Ca se passe dans une cave sombre. Un groupe térrorisé d'adultes et d'enfants attend la fin de l'alerte. Un homme parmi eux, avec sa guitare. Tout le monde connait ses musiques de flammenco oriental. Tout doucement, il se met à caresser son instrument, pas des notes, bien sûr, tout son est interdit, sait-on jamais, ce sont juste des esquisses, des frôlements, des carressements de cordes, une suggestion de concert. Et dans chaque coeur, et dans chaque tête, la musique résonne, la musique fleurit, et l'on se serre, corps contre corps, autour du musicien, dans cette révélation évidente que la survie du monde repose en germe dans cet instant unique.
Merci pour ton emprunt

Anonyme a dit…

Ta scène, Denis, me fait penser à un reportage dans un orphelinat russe dans lequel un joueur de flûte s'était clandestinement introduit. On voyait l'avant et l'après de son passage, à un ou deux ans d'intervalle : il vait transformé un mouroir, une cour des miracles infestée de cris et de folie encéphalopathique
pour gosses déglingués en lieu d'accueil vivante et respectueux des enfants... MtH P